C’est en 1977 que l’ONU a instauré la journée de la femme, les 8 mars de chaque année. Mais aujourd’hui encore, les femmes dans le monde n’ont pas encore les mêmes droits que les hommes.

Comme chaque mois de mars, cette année 2024, les évènements rappelant à la fois l’histoire de l’acquisition du droit des femmes et l’inégalités des droits, des conditions de vie et de travail entre les hommes et les femmes, se déroulent durant tout le mois, organisés par des collectifs et des associations (FRANCAS, CIDFF, femmes solidaires…). Il est important de souligner que les combats et le plaidoyer menés par ces organisations ne se limitent pas au seul mois de mars et sont menés tous les jours.

C’est ainsi que l’amicale laïque de Montignac, affiliée à la Ligue de l’enseignement de la Dordogne, a tenu lors de son assemblée générale du 8 mars à rendre hommage à l’engagement des femmes salariées, bénévoles et administratrices bénévoles au sein de l’association. Seules, celles-ci ont présenté l’ensemble des travaux. Elles ont rappelé que, dans cette association, la parité est de mise au sein du conseil d’administration.

Souhaitons qu’année après années, au-delà de la simple journée internationale de la femme, nos sociétés humaines progressent dans la reconnaissance de ses deux moitiés constituantes et que, hommes comme femmes, nous soyons reconnus comme des individus à part entière.

« (…)Les hommes et les femmes, nous sommes les deux moitiés de l'humanité et, par conséquent, la seule loi juste serait d'instaurer entre nous la parité dans les rouages décisifs de la démocratie, parce qu'elle répond à la loi naturelle qui perpétue le monde. (…) » Gisèle Halimi